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20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 16:06

 

the-one.jpg

 

 

  

 

 

 

Ce film fit découvrir le duo Jet Li - Jason Statham qui, je dois le dire, est un duo qui fonctionne bien. Jason Statham pratique très bien les arts martiaux et peut donc seconder Jet Li sans paraître ridicule. Dans ce film, Jet Li a innové avec la science-fiction et je dois reconnaître que j'ai beaucoup aimé le résultat. Et puis Jet Li contre Jet Li, c'est l'assurance d'un film d'action.

 

 

Résumé : Ayant compris que tous les êtres vivants des univers parallèles sont reliés entre eux et que lorsque l'un d'entre eux meurt son énergie est redirigée sur les autres, Yu-Law (Jet Li) décide d'éliminer tous ses doubles afin d'avoir une force surnaturelle et de devenir ainsi "l'unique".

Alors qu'il s'apprête à abattre son dernier double, le policier Gabe Law (Jet Li), celui-ci déjoue son plan et décide de l'affronter mais les deux hommes sont de force égale. Le combat sera rude...

 

 

 

 

Voici 4 vidéos : la première est la bande-annonce du film et les trois suivantes des scènes de combat.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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20 juin 2011 1 20 /06 /juin /2011 15:36

 

 

cuisinierchinois.jpg

 

 

 

 

 

 

Pour 4 personnes

 

8 pinces de crabe

2 pincées de poivre blanc moulu

1 cuillerée à soupe de vin blanc

 

Pour la pâte

 

150 g de chair de crabe

1/2 verre de lait frais

1 oeuf

50 g de farine de blé

25 g de maïzena

5 g de levure chimique

1 cuillerée à soupe d'huile d'arachide

2 pincées de poivre blanc moulu

1 cuillerée à café de sucre roux

3 pincées de sel

1 pincée de glutamate

 

 

 

 

Dans un grand bol, bien mélanger tous les ingrédients pour la pâte.

 

Laisser reposer 30 mn.

 

Casser les pinces de crabes en laissant intactes la chair et l'extrémité pointue.

 

Veiller à ne laisser aucun morceaux de coquilles.

 

Saupoudrer les pinces de poivre blanc et les arroser de vin blanc.

 

A feu vif, faire chauffer 1 litre d'huile d'arachide dans une friteuse.

 

Enrober les pinces de crabe d'une couche de pâte d'environ 1/2 centimètre d'épaisseur en laissant libre l'extrémité pointue.

 

Plonger les pinces dans l'huile bouillante et laisser frire à feu moyen pendant 15 mn jusqu'à ce qu'elles soient légèrement dorées.

 

Retirer les pinces de l'huile et les égoutter sur du papier absorbant.

 

Servir dans un plat chauffé.

 

 

 

 

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19 juin 2011 7 19 /06 /juin /2011 14:23

 

 

wok-fondue-chinoise.jpg

 

 

 

 

 

Pour 8 personnes

 

300 g de grosses crevettes

300 g de foie de veau

300 g de contre-filet de boeuf

300 g de rognons de porc

300 g de blanc de poulet

300 g de filet de poisson

8 oeufs

4 écheveaux de nouilles chinoises

4 ciboules (ou 2 poireaux ou 2 échalottes)

300 g de feuilles d'épinards

300 g de cresson de fontaine

1 petite laitue

sauce soja ou nuoc nam

sel, poivre, moutarde, piment, jus de citron ou vinaigre

4 litres de bouillon

 

 

Préparation

 

Décortiquer les crevettes. Rincer et égouter.

 

Découper le foie de veau, le boeuf et les rognons de porc en très fines tranches.

 

Découper transversalement le blanc de poulet et les filets de poisson en lamelles.

 

Laisser tremper les nouilles 15 mn dans de l'eau tiède puis les rincer et les égoutter. Les arroser ensuite d'une cuillerée à soupe d'huile.

 

Emincer les ciboules.

 

Déchirer les feuilles de laitue en lambeaux.

 

Arranger tous les ingrédients de façon décorative dans différentes assiettes et les condiments dans différents raviers.

 

 

Cuisson et dégustation

 

Installer au milieu de la table l'appareil à fondue.

 

Mettre une grande casserole contenant la moitié du bouillon sur un réchaud ou une plaque chauffante et porter à ébullition. Le bouillon doit rester en étant d'ébullition pendant tout le repas. En ajouter dans la casserole à mesure que le niveau baisse.

 

Disposer autour de l'appareil à fondue toutes les assiettes et tous les raviers.

 

Distribuer à chaque convive un bol, une fourchette à fondue, une cuillère et une paire de baguettes.

 

Pour déguster, chaque convive prendra, avec sa fourchette à fondue, 1 ou 2 morceaux de n'importe quels mets, les trempera dans le bouillon pour les faire cuire le temps qu'il lui convient, les retirera et les mettra dans son bol, y versera le condiment qu'il lui plaît, puis les consommera à l'aide de ses baguettes. Il pourra mettre un peu de bouillon dans son bol et boire.

 

Vers la fin du repas, la maîtresse de maison mettra toutes les nouilles dans le bouillon et les laissera cuire 20 mn environ.

 

Lorsque les nouilles seront cuites, chaque convive en mettra une partie dans son bol, les arrosera de bouillon et les dégustera.

 

A la fin du repas, les convives pocheront les oeufs dans la casserole, se partageront le reste du bouillon enrichi par la cuisson des mets et le boiront après l'avoir assaisonné à leur goût.

 

 

 

 

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18 juin 2011 6 18 /06 /juin /2011 17:40

 

 

cuisinier-chinois.jpg

 

 

 

 

 

 

 

Pour 4 personnes

 

300 g de faux-filet de boeuf

300 g de cresson de fontaine cru

1 gros oignon

2 gousses d'ail

1/4 de cuillerée à café de poivre moulu

1 cuillerée à café de sucre roux en poudre

3 cuillerées à soupe de vinaigre

2 cuillerées à soupe de nuoc nam ou de sauce de soja

2 cuillerées à soupe d'huile d'arachide

1 cuillerée à soupe de saindoux fondu (facultatif)

 

 

 

Découper le boeuf en carrés d'environ 2 cm de côté et de 0,5 cm d'épaisseur.

 

Hacher fin l'une des deux gousses d'ail. Ecraser l'autre gousse.

 

Mettre dans un bol le boeuf, ail haché, sucre, poivre, saindoux et nuoc nam. Bien mélanger et laisser reposer au moins une demi-heure.

 

Découper l'oignon en fines lamelles puis le laisser mariner dans le vinaigre au moins une demi-heure.

 

Mettre le cresson dans un grand plat de façon à en recouvrir tout le fond.

 

Faire chauffer à grand feu une poêle. Ajouter l'huile. Lorsque l'huile commence à fumer, ajouter la gousse d'ail écrasée, la promener rapidement pendant 30 secondes sur tout le fond de la poêle avec une spatule en bois.

 

Ajouter le boeuf avec sa marinade. Tout en maintenant le feu en grand, remuer le boeuf constamment pendant 3 minutes avec la spatule.

 

Verser la viande au milieu du lit de cresson puis verser l'oignon et sa marinade autour de la viande.

 

Servir immédiatement.

 

 

 

 

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17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 13:16

 

 

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La réflexologie chinoise s'appuie sur les principes de la médecine traditionnelle chinoise.

 

 

 

La réflexologie est une thérapie consistant à traiter différente régions du corps par de simples pressions des doigts sur des zones "réflexes" situées au niveau des pieds.

 

Les grands principes de la réflexologie sont le bien-être, l'équilibre et l'énergie. Chaque pied compte 7200 terminaisons nerveuses qui, par stimulation, transmettent des renseignements à la partie correspondante de l'organisme que l'on souhaite énergiser par l'intermédiaire du système nerveux. Les pieds sont ainsi considérés comme étant la mémoire du corps.

 

 

On distingue cinq différents types de pression pour stimuler les zones "réflexes" :

 

  • la pression alternée : pression alternative de la zone
  • la friction : frottement de la zone pour l'échauffer
  • le pétrissage : appui fort sur la zone à traiter
  • la marche : progression des doigts sur la zone
  • la rotation : petits mouvements rotatifs sur le point de pression au niveau de la zone

 

 

La pression au niveau de la voûte plantaire, du talon et des orteils, permet de trouver les points bloquants.

 

 

Sur la carte du pied, on retrouve les différentes zones réflexes suivantes :

 

  • sur le bord médial des pieds, la colonne vertébrale
  • sur les orteils, se localisent le crâne, le système nerveux et sensoriel
  • au niveau des métatarses, la cage thoracique, les poumons et le coeur
  • au niveau du tarse antérieur, l'abdomen, les intestins et les reins
  • au niveau des chevilles, on trouve les organes génitaux et le bassin.

 

 

Indications de la réflexologie chinoise

 

  • troubles de la circulation : jambes lourdes, oedèmes, hypo ou hypertension, hémorroïdes
  • troubles de la digestion : douleurs, acidité, constipation
  • troubles de la sphère ORL : bronchite, rhume, congestion
  • troubles du système nerveux : vue, ouïe, odorat
  • troubles hormonaux : règles douloureuses, ménopause, bouffées de chaleur, irritabilité
  • inflammations : sinusites, cystites, herpès...
  • fatigue chronique
  • surpoids

 

 

Contre-indications de la réflexologie chinoise

 

  • phlébite ou thrombose déclarée
  • femme enceinte
  • fièvre inexpliquée
  • infection, inflammation ou frature du pied
  • insuffisance cardiaque, hépatique ou rénale

 

 

 

 

 

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16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 12:26

 

 

poisson cru 

 

 

 

 

 

Pour 4 personnes

 

600 g de filets de cabillaud

300 g de cresson

8 cuillerées à soupe de sauce de soja

1 tubercule de gingembre

2 cuillerées à soupe de saké (ou de xérès sec)

 

 

 

 

 

Découper le poisson en tranches aussi fines que possible (si vous le réfrigérez avant, ce sera plus facile).

 

Disposer les tranches dans un plat.

 

Hâcher finement le gingembre puis le mélanger avec la sauce de soja et le saké.

 

Pour déguster, tremper le poisson cru dans la sauce et accompagner de feuilles de cresson.

 

 

 

 

 

 

 

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15 juin 2011 3 15 /06 /juin /2011 12:43

 

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Si l'astrologie est pratiquée en Inde depuis plus de 1500 ans, ses racines sont sans doute deux fois plus anciennes. Elle est née de la fusion de deux grandes traditions : la science jyoti de la divine astronomie décrite dans les Purânas et le système astrologique inventé par les Grecs.

 

Les astrologies occidentale et indienne croient toutes deux au zodiaque et à l'influence des planètes sur les "signes". Les plus anciens textes astrologiques indiens, les Yâvana-jâkatas, montrent une forte influence grecque à laquelle se mêlent des éléments indigènes. Cette synthèse permit l'essor de la science et de l'astrologie indiennes. Les astrologues bénéficiaient de l'apport des deux traditions : comprenant que le modèle d'une terre plate ne pouvait rendre compte de certaines différences dans la position des étoiles en Inde et en Grèce, ils inventèrent un nouveau modèle, celui d'une terre sphérique.

 

Ce qui sépare les astrologies occidentale et indienne, c'est la mesure du passage du temps. Alors que l'occident emploie le systéme "tropical" pour coordonner le zodiaque et les rotations réelles des étoiles, l'Inde se fonde sur la position des étoiles dans le ciel, alors que le modèle occidental est un concept plus abstrait. Mais ses textes de référence datant du début de notre ère, l'astrologie indienne ne connaît que les cinq premières planètes du système solaire.

 

 

Muhurta est l'astrologie élective qui prévoit le moment adéquat pour commencer une entreprise.

 

Vivaha est l'astrologie nuptiale qui décide de la "légimité" d'un couple et de la période idéale pour le mariage. Dans les annonces matrimoniales des journaux indiens, les prétendants mentionnent souvent leur thème astrologique.

 

 

 

L'astronomie

 

Les jyotis (lumières ou corps célestes) furent d'abord étudiés dans les Védângas (commentaires des Védas) en 400 avant J.C. Comme l'ancienne astrologie occidentale, le jyoti était considéré comme une science incluant la philosophie, l'astronomie et les mathématiques.

 

Les premiers astronomes (ou jyotishas) tentèrent d'établir un calendrier religieux fondé sur le passage de la lune à travers des groupes de vingt-sept ou vingt-huit étoiles (les maisons lunaires) au cours d'un cycle apparemment mensuel. Confrontés aux mouvements irréguliers de la lune de mois en mois, les jyotishas s'efforcèrent de trouver un cycle plus long où le mouvement se répéterait exactement. C'est ainsi qu'ils découvrirent le cycle des dix-neuf années solaires.

 

Ces astrologues (qui étaient des prêtres brahmanes) utilisaient leur connaissance des étoiles afin de prévoir les périodes les plus favorables pour les sacrifices. Puisque le bien-être du royaume dépendait du parfait déroulement des rites, leur rôle était fondamental.

 

L'Atharva-Véda affirme :"Un roi sans astrologue est comme un enfant sans père."

 

 

 

 

 






 

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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 13:46

 

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En Inde, les lieux de pélerinage, appelés thîrthas (gués) constituent des passages entre les sphères céleste et terrestre. Un thîrtha peut être un fleuve, comme le Gange, une montagne comme le Kaïlash (la retraite himalayenne de Shiva) ou même un linga formé naturellement, tel que celui de d'Amarnath. Ce stalagmite, qui se dresse dans une grotte située entre l'Inde et le Tibet, attire chaque année des milliers de pélerins lors de la pleine lune d'août.

 

Certains thîrthas, par lesquels les dieux descendent sur terre, représentent aux yeux des pélerins les seuils des royaumes divins.

 

Sept villes saintes constituent les principaux lieux de pélerinage :

 

  • Bénarès et Hardwar, sur les rives du Gange
  • Ayodhya, le lieu de naissance de Râma
  • Mathura, le lieu de naissance de Krishna
  • Dwarka, où Krishna devint roi et où naquit Vasudéva
  • Kanchipuram, le grand temple shivaïte du Tamil Nadu
  • Ujjaïn, où se déroule tous les douze ans la Khumbâ-Mélâ

 

Le pélerinage le plus sacré consiste à visiter les quatres "demeures" divines sises aux quatre points cardinaux de la carte mythologique de l'Inde : Badrinath au nord, Puri à l'est, Râmèshvaram au sud et Dwarka à l'ouest.

 

Badrinath, près de la source du Gange, est associée à Shiva alors que Puri et Dwarka sont les lieux d'élection des adeptes de Krishna. A Puri, en juin, se tient la fête de Rathayatra, où des milliers de fidèles tirent à travers les rues d'immenses chars portant des statues de Jagannâth (avatar de Krishna), de son frère Balarâma et de sa soeur Subhadrâ. Ramèshwaram se situe sur une île entre l'Inde et le Sri Lanka, île que Râma aurait traversée pour secourir Sîtâ.

 

 

 

 

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 Kumbhâ-Melâ

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 13:04

 

 

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Le Gange est le fleuve le plus sacré de l'Inde. Comme sa source jaillit au sommet du mont Méru, centre de l'univers et demeure des dieux, les Hindous croient que ses eaux coulent du ciel en passant par la chevelure de Shiva qui amortit sa chute.

 

Il est vénéré en tant que Gangâ et les grandes villes qui le bordent - Bénarès, Allahabad et Hardwar - sont toutes des lieux saints. Les pélerins se baignent dans le Gange pour se laver de leur karma et s'assurer une renaissance favorable.

 

Le temple le plus proche de sa source se dresse à 3140 mètres d'altitude dans le village de Gangotri, à un jour de marche de Rishikèsh.

 

Gaumukh, la source du Gange, se situe à 4225 mètres d'altitude, soit un jour de marche supplémentaire là où le glacier de Gangotri rejoint la rivière Bhagirathî. Des drapeaux de prière et de petits sanctuaires marquent l'emplacement de la source et quelques ascètes logent dans les grottes voisines.

 

Le temple de Kédarnâth, à 3850 mètres d'altitude, est un lieu de pélerinage renommé pour les fidèles de Shiva, tout comme les sources chaudes et le temple de Badrinath, sis dans une vallée entre les pics du Nar Parbat et du Nârâyama Parbat.

 

La course du Gange à travers les plaines commence à Hardwar, l'une des sept villes saintes. Le fleuve descend des montagnes à travers une gorge étroite signalée par deux lions de pierre. L'importance de Hardwar est due à sa position géographique et à la pureté spirituelle de son eau transportée par les pélerins à travers toute l'Inde. Tous les 12 ans, la ville abrite la Kumbha-Mélâ, au cours de laquelle des millions de fidèles se baignent dans les eaux sacrées.

Cette fête a lieu alternativement à Hardwar, à Ujjaïn, à Nasik et à Allahabad où, en 1989, 15 000 000 de pélerins vinrent se purifier.

 

Allahabad est le "lieu du sacrifice" car Brahmâ est censé y avoir accompli une cérémonie. Cette ville est doublement sainte parce qu'elle se tient au confluent du Gange, de la Yamunâ et de la mythique Sarasvâti, censée couler invisiblement au coeur du Gange.

 

Bénarès attire plus de pélerins que tout autre tîrtha en Inde. Favorablement située sur une courbe du Gange où le fleuve coule vers le nord, elle porte aussi le nom de Kashi (Cité de la Lumière). Elle dépend de Shiva, qui se manifeste ici en tant que Vishvanâthâ, Seigneur de l'Univers. Le plus grand de ses nombreux temples est le Vishvanatha et l'eau du fleuve symbolise le pouvoir immanent (shakti) de Shiva. Bénarès est aussi sacrée pour les bouddhistes et les jaïns. Le Bouddha historique délivra son premier grand sermon à Sarnath alors que Mahavîra, le fondateur du Jaïnisme, vécut à Bénarès tout comme le poète Kabîr.

 

 

 

 

 

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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 08:13

 

 

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Signe privilégié, le Dhanu recherche la profondeur, le sens.

 

Il n'aime pas les relations superficielles et s'efforce de creuser pour découvrir ce qui se cache au fond des gens.

 

Jupiter influe sur ce signe et lui apporte sa sagesse et sa maturité.

 

Dans d'autres domaines, le feu vous confère un certain sens de l'aventure.

 

La puissance et la fidélité de la Licorne associée à ce signe en font une personne juste, chaleureuse et d'une sensibilité authentique.

 

 

 

 

 

 

 





 

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